À travers les âges, la relation entre l'homme et la nature envoûtante de la Patagonie a subi une profonde transformation. Initialement perçue comme un redoutable défi pour les navigateurs cherchant des passages vers le Pacifique, cette terre austère représentait un obstacle à surmonter. Trois siècles plus tard, elle se métamorphose en un vaste territoire sauvage que les jeunes nations d'Argentine et du Chili aspirent à apprivoiser. Aujourd'hui, la Patagonie est devenue un sanctuaire prisé par les amoureux de la nature, qui viennent y chercher émerveillement et sérénité face à ses paysages spectaculaires.
Ce film, tourné sur les étendues préservées de la Patagonie, explore avec poésie et profondeur l'évolution de ce lien unique entre l'homme et cette région extraordinaire. À travers des images saisissantes et des témoignages poignants, il retrace les différentes ères de cette relation, mettant en lumière cette Patagonie qui continue à fasciner et à challenger ceux qui s'y aventurent.
En 2004, « Kin la Belle » tape dans l’œil de ce photographe français né en 1971 : son énergie débordante, sa musique insensée constituent la matière première du travail de producteur musical et de documentariste qu’il entame alors avec son complice Renaud Barret.
En 2010, les deux kinois d’adoption créent l’événement au festival de Cannes avec l’incroyable Benda Bilili, un documentaire vibrant d’énergie qui suit un orchestre de rumba, parti des trottoirs de Kinshasa à la conquête des scènes européennes.
Leur nouveau film, Pygmée Blues, nous embarque aux côtés de Wengi et Pierrette, deux Pygmées quittant Kinshasa, pour une traversée au long cours jusqu’à leur village natal, à 700 kilomètres en amont du fleuve Congo…
Plus tard, il réalise le film « Patagonie, à la lisière du Monde » pour Connaissance du Monde.
FLORENT DE LA TULLAYE
Réalisateur
La nature célèbre souvent de somptueuses noces : celles des grands lacs et de la mer Adriatique de l’Italie du Nord n’ont jamais cessé d’enchanter le voyageur, depuis les Romantiques en quête de dépaysement et d’inspiration jusqu’à l’aristocratie européenne venue y trouver un lieu de villégiature privilégié.
Au pied des Alpes et dominant la plaine lombarde, les 4 plus grands lacs italiens exercent tous sans exception, un fantastique pouvoir d’attraction. C’est que le Lac d’Orta, le lac Majeur, le lac de Côme et le lac de garde, enchâssés comme autant de pierres précieuses dans l’écrin de l’arc alpin, offrent à l’Italie ses plus beaux paysages lacustres, tout en échappées, en balcons et corniches.
Au Sud de ces grands lacs, de la plaine fertile du Pô, jusqu’à son embouchure dans l’Adriatique, vous découvrirez des villes au patrimoine artistique et historique exceptionnel : Crémone la ville du violon, Vérone la ville la plus romantique du monde, Padoue et sa basilique de Sainte Antoine, à l’architecture unique au monde, et que dire de Venise, qui attire chaque année des millions de visiteurs du monde entier. Mario INTROÏA nous entraîne dans un vertige émotionnel mais toujours passionnant où l’art de vivre reste un enchantement.
PARTIE I
Genèse des lacs italiens
Période romantique
Lac Majeur
Lac de Côme
Lac d’Orta
PARTIE II
Lac de Garda
La plaine du Pô
Crémone
La naissance du violon
Venise
Né en 1954, Mario INTROÏA, très tôt s’interroge sur le devenir de notre planète. Profondément attristé de voir le déclin de la biosphère, il milite alors avec les premiers mouvements pour la protection de l’environnement. Ces motivations profondes proviennent d’un attachement de très longue date aux spectacles de la nature dans ses manifestations les plus diverses.
Amoureux des grands espaces, ce bourlingueur d’exception voyage d’un bout à l’autre de la planète pour nous faire partager ses rencontres et ses expériences.
S’il refuse les étiquettes, il reste néanmoins un réalisateur infatigable passionné du film documentaire où l’homme et la nature sont indissociables. Mario INTROIA produit et réalise de nombreux documentaires : de l’Amazonie, aux grandes plaines de l’Afrique orientale, des contrées Arctiques, aux dernières zones humides d’Europe. Autant de voyages, d’expéditions et de rencontres exceptionnelles, qui lui ont forgé une solide réputation de rapporteur d’émotions.
MARIO INTROÏA
Réalisateur
Dans les années soixante-dix, Emmanuel Braquet réalisa un documentaire au Népal qui l’emmena dans toutes les régions du pays. Il ramena une moisson de documents exceptionnels. Mais une zone résista à l’oeil de sa caméra, une zone interdite et fascinant: le Mustang. Deux mois durant, il résida à Kagbeni, à la limite de cette région, en vain.
Trente ans après, Emmanuel revient dans ce pays en compagnie de son fils Sébastien. Le Népal a changé ; la mondialisation et la révolution maoïste ont métamorphosé la vie des habitants et la porte du Mustang est désormais entrouverte.
C’est dans les décors sublimes de ce Népal en pleine mutation que Sébastien va partir sur les traces de son père, dans le but de terminer un film commencé il y a trente ans. A la fois hommage aux peuples tibétains et témoignage des dernières lumières d’un royaume Interdit, ce film est aussi un passage de flambeau entre un père et un fils qui auront voué leur vie au voyage.
Sébastien, né en Provence en 1973, est le fils du grand voyageur Emmanuel Braquet qui l’entraîna autour du monde dès son plus jeune âge. Tout en poursuivant des études d’ethnologie, il accompagne des équipes de tournage en tant qu’assistant, photographe, preneur de son puis cameraman. C’est ainsi qu’il apprend le métier du documentaire sur le terrain, en Égypte, au Canada, à Venise, au Népal, au Tibet, etc, avant de réaliser son premier long-métrage «Cambodge, les clés d’un royaume», sous le label de Connaissance du Monde. Il tournera dans ce même pays « Voyage au coeur du Cambodge » en 2015. En 2020, il présente « Népal, magie et couleurs ».
En 2008, il réalise, avec son père, Emmanuel Braquet, « Népal-Mustang, Royaumes perdus de l'Himalaya », un témoignage des dernières heures du dernier royaume tibétain et de son dernier roi.
SÉBASTIEN BRAQUET
Réalisateur
Près de cinq siècles d’une histoire fastueuse et dérisoire, écrite aux confins de l’Empire du Milieu par des soldats, des prêtres, des mandarins, des marchands et des aventuriers, ont fait de A-MA GAO, la baie de A-MA, ce lieu si étrange et fascinant qu’est devenu MACAO.
Sur ces lointains rivages de la Mer de Chine, la rencontre des civilisations occidentale et orientale, de la Chine et du Portugal, a donné naissance, en 1557, à un comptoir de commerce qui connaîtra une prospérité fabuleuse ainsi qu’un rayonnement culturel et religieux exceptionnel dans tout l’Extrême-Orient. L’enclave portugaise attirera bien des convoitises avant de s’étioler dans un déclin rendu inéluctable par la naissance et l’essor de la toute proche colonie britannique de Hong Kong en 1842. MACAO deviendra, ensuite, dans l’imaginaire collectif ce Territoire mythique au charme sulfureux et désuet où flottait encore comme un parfum du temps jadis aux senteurs de douce mélancolie.
Carrefour privilégié de l’Orient et de l’Occident, MACAO s’est toujours distingué par son caractère sino-portugais, par son identité lusitano-chinoise... ! Si l’âme du Territoire est portugaise, son authenticité, pourrait-on dire, est chinoise.
Dans l’aube naissante, la gestuelle somptueuse du Tai Chi Chuan envahit l’espace ; les oiseaux font leur promenade quotidienne dans des cages de bambou méticuleusement entretenues ; les rues s’emplissent de la fumée enivrante des bâtonnets d’encens… mais partout, à tout instant, imposante ou discrète, par ses monuments, ses enseignes commerciales ou ses plaques de rue, apparaît l’empreinte portugaise. Histoire d’une cohabitation, pour l’essentiel, paisible et harmonieuse !
Le 20 Décembre 1999, MACAO qui était, selon la dénomination officielle, depuis 442 ans, un Territoire chinois sous administration provisoire portugaise, est redevenu, à l’instar de Hong Kong, une partie intégrante de la République Populaire de Chine.
Ainsi s’est achevée l’histoire fascinante d’une poussière d’Empire... ainsi a commencé de s’écrire l’improbable destin d’une Région Administrative Spéciale de la Chine nouvelle.
Robert-Émile CANAT, cinéaste et photographe de passion est aussi juriste et historien de formation !
À seize ans, il part en solitaire, Nikon en bandoulière, découvrir le monde… ses beautés, ses rudesses et sa diversité. Après un troisième cycle universitaire de droit international et d’histoire, il s’engage dans diverses expériences professionnelles puis décide de troquer son code pénal contre une caméra et de donner, ainsi, libre cours à sa passion de l’aventure et de l’image, à son envie, toute simple, de « vivre et raconter de belles histoires du bout du monde » ! C’est dans la boue des rizières, l’écume des mers ou la poussière des déserts qu’il tracera sa ligne de vie et trouvera ses sources d’inspiration...
Après l’univers chinois, « Venise la sérénissime », « la Perse au cœur de l’Iran » et « Il était une fois... Hong Kong », Robert-Émile CANAT nous propose de découvrir MACAO.
ROBERT-ÉMILE CANAT
Réalisateur
Serge Oliéro vous emmène à la découverte des îles habitées de Bretagne.
Celles qui se vivent de l’intérieur pour leurs traditions encore bien ancrées, animées par les communautés îliennes de marins-pêcheurs, d’agriculteurs ou d’éleveurs de moutons... et celles aux volets clos une partie de l’année dont l’éternelle beauté vous charmera !
Bréhat, Batz, Molène, Ouessant, Sein, les Glénan, Groix, Hoëdic, Houat, Belle-Île, Arz et l’Île aux Moines: autant d’îles enchanteresses qui, toutes, tirent une grande force de leur histoire et de leur quotidien.
La mer, ses tempêtes, ses phares et ses naufrages.
Bienvenue sur ces îles et surtout... laissez le dernier bateau repartir vers le continent, et profitez...
Serge Oliéro découvre l’image à travers sa formation de photographe qu’il met au service de sa plus chère volonté: celle de voyager. Du Népal à l’Afrique, de l’Écosse à la Nouvelle-Zélande, notre voyageur parcourt depuis 30 ans les sentiers du monde.
Il réalise son premier long métrage sur l’Écosse, un pays dont l’atmosphère lui rappellera ses origines bretonnes.
Puis, il nous étonne avec deux films consacrés à la Nouvelle-Zélande : « Paradis du bout du monde », et « Voyage au cœur de la nature ».
Il restitue, avec sincérité et sourire, la puissance de ses voyages dans tous ses reportages et livres. Il revient aujourd’hui sur la terre de ses ancêtres avec sa toute dernière réalisation « Îles de Bretagne ».
Serge y témoigne de la beauté de ces îles, toutes différentes, toutes enchanteresses !
SERGE OLIÉRO
Réalisateur
Michel Drachoussoff nous a passionnés et enchantés à la projection de chacun de ses trois films consacrés à son pays d’origine, la Russie. La dernière fois, nous avions vécu avec émotion sa recherche de la propriété de ses ancêtres, suivie d’un voyage fluvial nous faisant découvrir les merveilles de la Russie historique.
Le dernier volet de cette série s’intitule « Ma Russie ». Aucune volonté d’appropriation, mais simplement une marque de tendresse pour un pays qu’il fréquente depuis plusieurs décennies.
Il nous offre des images exceptionnelles, une vision particulièrement personnelle des lieux les plus connus (Moscou, Saint-Pétersbourg), et de nombreux autres qui le sont beaucoup moins (Mer Blanche, Carélie).
Le commentaire fort, sans complaisance, nous plonge dans la réalité de la Russie contemporaine à la recherche de ses racines et tentant de réaliser son devoir de mémoire.
Un voyage très personnel, d’une grande beauté et d’une grande poésie.
À ne pas manquer pour celui qui désire se plonger « autrement » dans les réalités et les mystères de ce pays fascinant.
Saint-Pétersbourg, Capitale de Pierre le Grand et de l’impératrice Catherine II
Palais et canaux, des architectes de génie pour une cité hors norme
Leningrad, ville héroïque et martyre.
Les Nuits Blanches
La terreur bolchévique et le devoir de mémoire
De Moscou à la Mer Blanche
Les monastères séculaires et paysages de Carélie
Les îles Solovki, quand le paradis devint antichambre de l'enfer
Renaissances : La religion, les traditions et la musique
Moscou
Mégapole aux multiples facettes
Festivités hivernales sur la Place Rouge
Bikers, Rock et folklore
Moscou insolite
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Novgorod, et merveilles de l'Anneau d'Or
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